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Faire l’axe Lyon-Turin un moteur pour la recherche contre le cancer
Publié le 09/05/2024
Suite au partenariat signé en juin 2022 entre le CLB / CRCL et le centre de recherche contre le cancer de Turin (IRCCS, Istituto Candiolo), les parties prenantes sont parvenues à mettre en place le projet européen ALCOTRA TL2C « Turin-Lyon contre le cancer » qui associe également la chambre de Commerce de Turin, l’ANRT, l’APRE, et le Bio-Industry Park du Piémont. Le projet TL2C, qui se déploie autour de trois axes (prévention, recherche translationnelle, valorisation de la recherche), va permettre aux équipes impliquées de travailler main dans la main mais aussi de former la jeune génération de chercheurs à ces thématiques, grâce à un solide programme de soutien au niveau doctoral et postdoctoral.
Le 30 avril dernier, à l’invitation du consulat général d’Italie à Lyon, de l’Institut culturel italien et de l’ambassade d’Italie, les représentants du projet ALCOTRA TL2C ont présenté leur programme de travail devant une quarantaine d’invités (responsables de la région Auvergne-Rhône-Alpes, de la préfecture du Rhône, élus, industriels, scientifiques et chercheurs).
Cette soirée a été non seulement l’occasion de présenter les trois axes du LT2C (prévention, médecine translationnelle et valorisation), et leur état d’avancement, mais aussi d’inscrire ce projet dans une dynamique ambitieuse : faire de l’axe Lyon-Turin le moteur de la recherche contre le cancer.
Le projet LT2C va constituer ainsi la première pierre d’un partenariat à long terme entre les deux institutions (CLB/ CRCL et IRCCS de Turin), impliquant également les acteurs régionaux des deux côtés des Alpes, avec pour objectif de lancer un vaste programme d’une centaine de bourses de doctorat et de post-doctorat, mais aussi un programme transfrontalier pour la création de startups (Fonds de maturation et d’amorçage) dans le domaine de la lutte contre le cancer.
Les représentations diplomatiques en France et en Italie, qui suivent et soutiennent le projet, pourraient permettre de l’inscrire dans le cadre du volet « santé » du traité du Quirinal, l’accord de coopération renforcée entre le France et l’Italie.